En digne représentant de la troisième génération, Louis-Clément comprend rapidement que le marché évolue et que si Breguet veut rester compétitif, il devient impératif de se diversifier. Son approche est d’autant plus différente que contrairement à ses aïeuls, il n’a pas vécu la Révolution et ne connaît que très peu l’Empire.