En digne représentant de la troisième génération, Louis-Clément comprend rapidement que le marché évolue et que si Breguet veut rester compétitif, il devient impératif de se diversifier. Son approche est d’autant plus différente que contrairement à ses aïeuls, il n’a pas vécu la Révolution et ne connaît que très peu l’Empire.
Parvenu aux affaires en 1833, Louis-Clément Breguet, le petit-fils, marque aussitôt son intérêt pour la pendule sympathique et dépose deux brevets nouveaux dont l’un ajoute la fonction « remontage de la montre » aux fonctions déjà existantes de remise à l’heure et de réglage. La pendule sympathique de deuxième génération, avec ou sans la fonction remontage, se vendra à une cinquantaine d’exemplaires entre 1834 et 1838, dont une au roi Louis-Philippe, une à son fils le duc d’Orléans, une au duc de Wellington et une autre au roi de Hanovre.